mardi 28 décembre 2010

Impressioniums de Londinium


Si on compte pas le senteur sucré des bas et biscuits, hurlement des bébés et vente sans-ceise de Duty Free dans un avion bondé le vol vers Londres a passé très bien. Car j'ai réussi de dormir seulement une heure la ville dans brume a laissé une impression humide: la première affaire que j'ai vu c'était McDonald, Thames était peu profond et sale, architecture paru simple et sec. Mais l'état d'esprit remontait joyeux et chialeux conducteurs d'autobus, agitation spontanée de grande ville et des musées chiques! Et vers le soir, quand une douce voix m'a dit délicatement que le musée de beaux arts va fermer dans vingt minutes et que ça serait mieux de dormir pas près d'un quelconque chef-oeuvre mais dans un confort chaleureux de maison, j'ai compris qu'on ne peux pas juger Londres juste par premier partiel impression.

Et ça prouvait d'être vrai. Plus tard j'ai me suis promenait dans les rues nocturnes, ébloui par des lumières et décorations de Noël et bouleversé par ça vivacité et activité. Les maisons privés sont peux décores, si on compare à ceux du Canada, mais les rues touristiques brillent et passent de toutes couleurs d'arc en ciel et les décorations sont chiques et originales! Les bancs publiques éclairé par en-dessous, marchés de fêtes avec des carrousels, rues obscures avec des limousines roses impressionnent beaucoup. Le jour, sous le soleil chaud la ville parait fier et confortable, remplie par des foules des touristes même en hiver! On entends beaucoup de français, espagnol, allemagne et russe. Chinois sont omniprésents comme toujours. Il n'y a pas des chats sur les rues, j'ai vu 3 chiens mais il y a énormément des pigeons. Peux de police, on entends seulement des ambulances, partout il y a des caméras de sécurité et chaque personne apparais la-dessus jusqu'au trois cents fois par jours. Par contre ils sont moins agaçants et évidents que à Washington. Palais de Buckingham n'impression pas par son extérieur mais par des histoires par exemple histoires d'intrusion. Une fois des allemands en essayant de sauver quelques sous sur l'hébergement ont tenté dans parc en arrière du Palais et impressionnait la garde lendemain matin en demandant le chemin de sortie; une autre fois une personne vivait pendant des semaines dans le Palais en se cachant dans les chemines et terrifiant des habitants par des emprunts noirs, restants de la nourriture et les lits pas faits. Le plus fameux intrusion était par un soulon irlandais qui était tanné de dormir dans la froideur des rues de Londres et a pensait que dans le Palais ils doivent avoir des lits disponibles, a cassé la fenêtre et a pénétré. La garde a était tellement surpris et impressionné par le fait que au début ils pensait impossible que quelqu'un entre par la fenêtre de par en avant et ils ont désactivé l'alarme pour ne pas réveiller le monde. Ça a permit a notre brave irlandais de trouver la cave avec un bon vin centenaire, de l'apprécier, de faire une bonne et longue discussion avec des portraits des suzerains, de se relaxer quelques minutes sur le trône. En fin, fatigué, il a trouvé une chambre à coucher. Par contre elle était déjà occupé par la reine elle même. En donnant hommage à la reine, elle au lieux de paniquer a commencé une discussion avec notre héros sur la vie, la température et la famille. Malheureusement dans quelques minutes les thèmes en commun entre la reine et un soulon se sont écoulés et en cherchant quoi dire l'irlandais a demandé une cigarette. La reine a répondu qu'elle ne fume pas mais elle pourrais appeler quelqu'un qui les a, a prix le téléphone et appelé la garde en disant - "Amenez SVP une cigarette à un irlandais saoul qui est dans ma chambre...". Finalement le gars devait juste payer pour le vin "volé" car ils n'on pas eu des lois pour une pénétration le Palias de Buckingham.

Moi, j'ai dormit dans des appartements plus modestes, dans un auberge de jeunesse. Par contre il était 30 secondes de marche de Peccadille Circus, pas loin de Trafalgar Square, Big Ben et Palais de Buckingham et on vivait dans une ambiance compacte, varié et joyeux - de jeunes de Suisse, Allemagne, France, Mexique, États et Chine.

Je peux rajouter qu'ils roulent de droite à gauche, plus précisément le droit c'est la gauche ou sur la gauche tu a le droit et il faut regarder de deux cotés simultanément pour ne pas se faire écrasé; mesurent dans livres, comptes dans stérlings, les prises sont différents et près de chacune il y a une annonce que charge des cells c'est du vol; toilettes sont payants, pas des fontaines d'eau potable; des pélicans se promènent dans les parcs; il est illégal de mourir dans le Parlement; dans Tower habitent des cornées royales et les gens disent que s'ils disparaissent la monarchie va disparaitre aussi et un touriste a demandait si ça déjà arrivé; toute le monde sortent sans parapluies, même s'il pleut presque tout le temps; ils fument beaucoup sans peur d'avoir pneumonie car il est interdit de fumer dans les maisons; les aborigènes sont chiques et bien habillés, toujours précises, polis et amables. On peux avoir des surprises: château - court suprême, l'ambassade de Taxas, un bar pour les cowboys, bateau de temps de guerre éclairé comme sapin de Noël et des écureuils insistants de les nourrir. J'ai en un petit choc culturel. Au Québec après demande des renseignements nous souriions, disons merci et attendons la réponse "Avec plaisir". À Londre au dernier étape ils pansent que tu souris et attends car tu n'a rien compris et il faut expliquer encore un fois...

Bref. On ne peux pas s'ennuyer à Londre, comme de le comprendre de première fois. En marchants plusieurs jours huit-dix heures par jour je le juste senti. Il va falloir y retourner!

Comme toujours bienvenue voir galerie photo #1 et #2!















Ça m'a plut ce bureau avec un iMac et trois bouteilles de vodka sur la table, fauteuil comfo et vue superbe sur Thames (j'ai pris la photo de l'extérieur)! Ça c'est dans ma palette!






























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